Liban, 2011-2016. Cinq années se sont écoulées depuis le début de la guerre en Syrie. La moitié de la population a fui les bombardements et les combats: 6,6 millions de Syriens sont déplacés dans le pays et 4,6 millions se sont réfugiés à l’étranger. Au Liban, ils représentent un tiers de la population. Depuis des mois, des années pour la plupart, ils sont bloqués dans le pays sans perspective de retour en Syrie, vivant dans des conditions toujours plus précaires.

Liban, Antelias, janvier 2016. Des familles de réfugiés syriens vivent sur le front de mer de la ville d’Antelias, au nord de Beyrouth.
Liban, Bourj Hammoud, janvier 2016. Dans la ville de Bourj Hamoud, de nombreuses familles syriennes vivent dans des logements insalubres qui nécessitent des travaux de réparation.
Liban, Baabda, janvier 2016. La famille Thalouj a fui la guerre en Syrie pour trouver refuge au Liban. Ils ont accumulé des dettes importantes et sont à la recherche d’un logement moins cher. Une partie de la famille veut rentrer en Syrie si leurs conditions de vie ne s’améliorent pas.
Liban, Bourj Hammoud, janvier 2016. L’un des quartiers de la ville de Bourj Hamoud, où vivent de nombreux réfugiés syriens.
Liban, Tabarja, janvier 2016. Un couple de réfugiés syriens vit à Ouata Slam, près de la plage de Tabarja. Ils sont arrivés de Syrie il y a quatre ans. Aucun des quatre enfants n’est scolarisé, faute d’école à proximité.
Liban, Khalde, janvier 2016. Distribution de cartes permettant aux réfugiés syriens d’acheter de la nourriture pour un montant de 21 dollars US par mois, dans l’un des 64 magasins sélectionnés à Beyrouth et dans la région du Mont Liban.
Liban, Akkar, 21 janvier 2016. La famille Al Zeen répare sa maison. Première Urgence Internationale leur fournit un soutien financier permettant de couvrir les dépenses liées aux travaux. En échange, le propriétaire de la maison accepte de ne pas faire payer la famille Al Zeen pendant une année complète.
Liban, Tabarja, janvier 2016. Evaluation des conditions de logement dans un camp informel de Ouata Slam, où vivent des réfugiés syriens.
Liban, Akkar, camp informel de réfugiés syriens Saadine 002, janvier 2016. La clinique mobile de Première Urgence Internationale vient deux fois par mois dans le camp. L’infirmière Ola (au
milieu) et le médecin Zeinab (au deuxième plan) auscultent Maher.
Liban, Akkar, camp informel de réfugiés syriens Saadine 002, janvier 2016. Portrait de la fille et des petits enfants d’Amar (à gauche) devant leur habitation.
Liban, Saida, la ville de Nabatieh, janvier 2016.
Liban, Saida, Nabatieh, janvier 2016. L’une des trois pièces qui composent la maison dans laquelle vivent Hobous et ses trois enfants, à Nabatieh, au sud de Saïda. La famille kurde habitait à Alep avant de fuir vers le Liban il y a deux ans. Ils manquent de matelas pour dormir et de vêtements pour l’hiver.
Liban, Saida, Nabatieh, janvier 2016. Hobous et ses trois enfants vivent à Nabatieh, au sud de
Saida. La famille kurde habitait à Alep avant de fuir vers le Liban il y a deux ans.
Liban, Saida, Aaqbiye, janvier 2016. Séance de sensibilisation à la santé. Une centaine de réfugiés syriens vivent dans des immeubles en construction à Aaqbiye, au sud de Saida.
Liban, Tabarja, janvier 2016. La famille Sahou habite depuis trois ans dans un camp de Ouata Slam, près de la plage de Tabarja. La pluie s’infiltre par le toit, construit avec des planches de bois et des bâches en plastique. Khoder (à droite) se plaint de l’absence d’assistance alimentaire et du manque de soins médicaux.
Liban, Akkar, camp informel de réfugiés syriens Saadine 002, janvier 2016. Nour est en train de vérifier les planches de bois qui soutiennent le toit de son logement. Elle vit dans le camp de Saadine 002 et récolte des pommes de terre pour gagner de l’argent.
Liban, Akkar, Ballanet Hissa, janvier 2016. La famille Maksoud vit dans une maison en construction à Ballanet Hissa.
Liban, Akkar, Cheikh Zennad, à la frontière syro-libanaise, janvier 2016. Construction d’un réservoir pour alimenter le village de Cheikh Zennad en eau. Une dizaine de familles syriennes ont trouvé refuge dans le village.

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